L'entrepreneuriat c'est comme avoir un enfant
L'ENTREPRENEURNIAT C'EST COMME AVOIR UN ENFANT
On croit qu’on est prêt.
On s’imagine déjà avec son beau projet dans les bras, le sourire aux lèvres, et cette fierté d’avoir donné vie à quelque chose qui nous appartient.
Mais… l’entrepreneuriat, c’est comme avoir un enfant : la théorie est jolie… et la pratique, c’est une autre histoire.
Au début, tout le monde félicite :
“Bravo ! C’est un beau projet !”
Et on y croit, on se dit : Yes, je gère.
Puis… la vraie vie d’entrepreneur commence.
Un client mécontent te laisse un message à 22h parce qu’un livrable a pris du retard.
Ton chiffre d’affaires du mois est 30 % en dessous des prévisions, et tes charges, elles, ne t’attendent pas.
Un prospect “hyper chaud” disparaît sans prévenir, et ne répond plus à tes mails.
Les urgences s’enchaînent.
Un fournisseur double ses tarifs du jour au lendemain.
Tes réseaux sociaux stagnent alors que tu y passes des heures.
Et, au milieu de tout ça, l’URSSAF te réclame un paiement imprévu… pile le mois où tes ventes baissent.
Les imprévus coûtent cher.
Tu bosses jusqu’à pas d’heure, mais tu te réveilles quand même la nuit avec cette boule au ventre… et toujours les mêmes questions :
“Et si ça ne marche pas ?”
“Et si j’ai tout donné… pour rien ?”
Et là, tu réalises : il n’y a pas de mode d’emploi pour ça.
Chacun y va de son conseil, souvent contradictoire :
- “Fais comme ci…”
- “Non, surtout pas, fais comme ça…”
Et parfois, au milieu de ce chao, tu as juste envie… d’abandonner.
Parce que c’est lourd. Parce que c’est fatigant.
Et parce que personne ne t’avait prévenu que créer son business, c’est parfois comme élever un enfant : ça crie, ça coûte cher, ça prend tout ton temps… et ça te met face à tes limites.
Et pourtant… Un jour, on regarde son projet. Fatigué·e, cerné·e, mais fier·e. Et on se dit : “J’ai créé ça. Et malgré les galères… ça valait le coût.”
Et pourtant… Un jour, on regarde son projet. Fatigué·e, cerné·e, mais fier·e. Et on se dit : “J’ai créé ça. Et malgré les galères… ça valait le coût.”
Parce qu’on réalise que l’entrepreneuriat, ce n’est pas seulement construire une entreprise.
C’est aussi se construire soi-même.
Découvrir qu’on est capable de se relever 100 fois.
Qu’on peut improviser, s’adapter, créer des solutions là où il n’y en avait pas.
L’ENTREPRENEURIAT C’EST COMME AVOIR UN ENFANT : Ce que ça t’apprend ?
D’abord, la persévérance.
Parce qu’en entrepreneuriat, il n’y a pas de raccourci magique.
Tu te lèves parfois avec zéro motivation, mais tu avances quand même.
Tu envoies un devis sans savoir si la réponse sera oui ou non.
Tu te présentes à un rendez-vous après trois refus… juste parce que tu sais que c’est comme ça qu’on construit.
Ensuite, l’instinct.
Avec le temps, tu apprends à sentir quand un client est vraiment sérieux… et quand il ne faut pas perdre ton temps.
Tu sais quand il faut pousser… et quand il vaut mieux lâcher.
Tu lis entre les lignes d’un mail, tu entends ce qui n’est pas dit.
Et cet instinct-là, il ne s’enseigne pas dans un livre : il se forge à force d’être sur le terrain.
Et puis surtout… tu découvres une patience que tu n’avais même pas avec toi-même.
Parce que quand on aime son projet, on lui pardonne ses crises de croissance, ses lenteurs, ses ratés.
On apprend à l’accompagner, à lui donner de l’espace pour grandir… même si ça prend plus de temps que prévu.
Et là, on comprend une vérité que beaucoup ignorent :
Le succès ne vient pas d’un coup de chance ou d’une idée brillante.
Il vient du fait qu’on choisit, chaque jour, de continuer.
Même quand c’est dur.
Même quand personne ne te félicite.
Même quand personne ne voit tes efforts.
Même quand toi-même, tu doutes.
Le vrai jeu : est d’avancer… malgré tout.
Et un jour, tu réalises que ce “malgré tout” a fait de toi quelqu’un que tu respectes vraiment.
Alors oui…
L’entrepreneuriat, c’est comme avoir un enfant : ça bouscule, ça épuise, ça coûte cher en énergie, en temps, en argent.
Mais c’est aussi ce qui nous fait développer notre patience et notre instint d’entrepreneur.
Et au final…Quand on regarde le chemin parcouru, on sait que ça en valait chaque nuit blanche, chaque risque, chaque larme.
Parce qu’au fond… c’est notre œuvre.
Et personne ne pourra jamais nous l’enlever.
Avant de terminer voici mon tips
“Si ton business te réveille la nuit, ce n’est pas pour te punir… c’est juste ton esprit qui essaie de trouver une solution.
Mais crois-moi : les meilleures réponses arrivent quand ton cerveau est reposé et prêt à réfléchir avec lucidité.
Alors, fais ce que font de nombreux leaders : note le problème, ferme le carnet, et promets-toi d’y revenir demain avec un esprit clair.
Parce que la fatigue prend toujours de mauvaises décisions… elle voit des montagnes là où il n’y a que des marches.
Mais un esprit reposé ? Lui, il voit la route, trace le plan… et construit des victoires.
Ne laisse pas tes nuits devenir un champ de bataille. Transforme-les en terrain de récupération… pour mieux conquérir demain.”
TIPS
Avant de terminer voici mon tips
“Si ton business te réveille la nuit, ce n’est pas pour te punir… c’est juste ton esprit qui essaie de trouver une solution.
Mais crois-moi : les meilleures réponses arrivent quand ton cerveau est reposé et prêt à réfléchir avec lucidité.
Alors, fais ce que font de nombreux leaders : note le problème, ferme le carnet, et promets-toi d’y revenir demain avec un esprit clair.
Parce que la fatigue prend toujours de mauvaises décisions… elle voit des montagnes là où il n’y a que des marches.
Mais un esprit reposé ? Lui, il voit la route, trace le plan… et construit des victoires.
Ne laisse pas tes nuits devenir un champ de bataille. Transforme-les en terrain de récupération… pour mieux conquérir demain.”